José Joseph
Eso es lo que es, viejo Joseph
Voilà c’que c’est, mon vieux Joseph
Que haber tomado el más bonito
Que d’avoir pris la plus jolie
Entre las chicas de Galilea
Parmi les filles de galilée
La que llamamos Marie
Celle qu’on appelait Marie
Podrías haberlo hecho, mi viejo Joseph
Tu aurais pu, mon vieux Joseph
Tome Sarah o Deborah
Prendre sarah ou Déborah
Y nada habría pasado
Et rien ne serait arrivé
Pero preferías a Marie
Mais tu as préféré Marie
Podrías haberlo hecho, mi viejo Joseph
Tu aurais pu, mon vieux Joseph
Quédate en casa, corta la madera
Rester chez toi, tailler ton bois
En lugar de ir a exiliarte
Plutôt que d’aller t’exiler
Y esconderse con Mary
Et te cacher avec Marie
Podrías haberlo hecho, mi viejo Joseph
Tu aurais pu, mon vieux Joseph
Hacer niños con Marie
Faire des petits avec Marie
Y enséñales tu profesión
Et leur apprendre ton métier
Como tu padre te enseñó
Comme ton père te l’avait appris
¿Por qué tomó, Joseph?
Pourquoi a-t-il fallu, Joseph
Que tu hijo, que inocente
Que ton enfant, cet innocent
¿Has tenido estas ideas extrañas?
Ait eu ces étranges idées
¿Quién hizo llorar tanto a María?
Qui ont tant fait pleurer Marie?
A veces pienso en ti, Joseph
Parfois je pense à toi, Joseph
Mi pobre amigo, cuando te ríes
Mon pauvre ami, lorsque l’on rit
De ti que no habías preguntado
De toi qui n’avais demandé
Qué vivir felizmente con María
Qu’à vivre heureux avec Marie
Joseph
Canción de Georges Moustaki
Voilà c’que c’est, mon vieux Joseph
Que d’avoir pris la plus jolie
Parmi les filles de Galilée
Celle qu’on appelait Marie
Tu aurais pu, mon vieux Joseph
Prendre Sarah ou Déborah
Et rien ne serait arrivé
Mais tu as préféré Marie
Tu aurais pu, mon vieux Joseph
Rester chez toi, tailler ton bois
Plutôt que d’aller t’exiler
Et te cacher avec Marie
Tu aurais pu, mon vieux Joseph
Faire des petits avec Marie
Et leur apprendre ton métier
Comme ton père te l’avait appris
Pourquoi a-t-il fallu, Joseph
Que ton enfant, cet innocent
Ait eu ces étranges idées
Qui ont tant fait pleurer Marie?
Parfois je pense à toi, Joseph
Mon pauvre ami, lorsque l’on rit
De toi qui n’avais demandé
Qu’à vivre heureux avec Marie
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